Scandale à La Réunion : Un employé d’une grosse entreprise démissionne car il se sent trop « surpayé » !

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Surpayé, il n’en peut plus et démissionne de son travail?

Oui Lo Canard vient de l’apprendre, dans une révélation des plus inattendues, un employé d’une entreprise réunionnaise bien connue a démissionné de son poste après avoir été confronté à un problème pour le moins inhabituel : il se sentait trop « surpayé ».

Oui, vous avez bien lu, cet individu a décidé de prendre son destin en main et de quitter son emploi pour échapper au fardeau écrasant de son salaire trop généreux.

Cet employé extraordinaire, appelons-le Monsieur Gratoncut, avait une vision bien à lui de l’équilibre entre travail et rémunération. Alors que la plupart des employés se plaignent de ne pas être payés assez, ce dernier a réussi à se convaincre qu’il était victime d’une injustice financière en étant trop bien rémunéré. Son salaire élevé lui pesait tellement psychologiquement qu’il ressentait le besoin de se libérer de cette « malédiction ».

Le jour de sa démission, tel un orateur excentrique, le futur démissionnaire a pris la parole devant ses collègues perplexes pour expliquer les raisons étranges de sa démission. Il a déclaré avec conviction : « Mes amis, je me trouve dans une situation inextricable. Je n’en peux plus! Mon salaire est tellement élevé qu’il me met dans une position intenable. Comment puis-je profiter de la vie, des plaisirs simples, si je suis constamment tourmenté par ce salaire déraisonnable ? Je suis sûr que vous comprenez tous ma souffrance…mi gagne pu, mi veu pu, mi na assé…mi veu retrouve ma gazon de riz sec, mon rougail tomate ek 2 piments…mi veu retrouve mon vie d’avant! »

Après sa démission sensationnelle, Gratoncut s’est retiré dans un village reculé, dans les hauts de Mafate, où il vit désormais une existence simple et dénuée de tout excès. Il est devenu SDF, cultive son propre jardin dans le fond d’une ravine, porte des vêtements minimalistes et déchirés et se contente de mendier de temps en temps devant la boutique du quartier pour ses besoins essentiels. Il est convaincu d’avoir trouvé la paix intérieure en échappant à la malédiction du trop plein de salaire…

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Source des images: internet, montage LCLN, internet, pixabay


Ceci est une fiction humoristique et parodique. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur ou utilisés de façon fictive. Tous les articles de ce site sont faux.

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